Dragon Ball - Le Château du démon
Dragon Ball - Le Château du démon
Infos techniques du film d'animation "Dragon Ball - Le Château du démon"
Titre original
Durée
Date de sortie en France
Pays d'origine
Réalisation
Société de production
Synopsis du film d'animation "Dragon Ball - Le Château du démon"
San Goku et Krilin doivent délivrer une princesse enfermée dans un château afin de la ramener à leur maître, Tortue Ninja.
Critique du film d'animation "Dragon Ball - Le Château du démon"
Quand Son Goku rencontre le compte Dracula
Seconde adaptation pour le cinéma (japonais) de la série Dragon Ball, Le château du démon est la suite directe de La Légende de Shenron.
Les points forts
Les nouveautés de ce film (par rapport à la série initiale) sont d’une étonnante originalité (mais pourront aussi être considéré comme des aberrations par les puristes). C’est toujours un plaisir de retrouver le jeune Son Goku et ses amis à l’écran. Les personnages sont très sympathiques.
L'animation ne fait pas de miracle, mais se laisse apprécier grâce notamment à une esthétique reconnaissable, que l’on doit bien sur à Akira Toriyama.
Les points faibles
La prise de liberté du scénario est désespérante, en raison d’une histoire et de personnages absolument absents de la série initiale et qui peinent à trouver une légitimité dans ce film. Le Comte Dracula et son armée de monstre sont risibles. Le personnage de Lunch est dénaturé...
On retrouve également les mêmes défauts que dans le film précédent, des dialogues idiots, et un doublage français épouvantable, une absence regrettable de dramaturgie crédible, un humour de bas étage, obscène, et des séquences où l’on découvre une Bulma dans des positions pour le moins suggestives…
Avec un format de seulement 40 minutes, le film parvint l’exploit d’être long et ennuyeux.
En conclusion
Le Château du démon frôle la petite catastrophe à cause d’énormes prises de liberté qui s’avèrent souvent ridicules. Tout comme le film précédent, il manque d’intention et de précision, mais saura se faire apprécier par le public ayant le moins d’exigence.