Le Noël des Looney Tunes
Le Noël des Looney Tunes
Infos techniques du film d'animation "Le Noël des Looney Tunes"
Titre original
Durée
Date de sortie en France
Pays d'origine
Réalisation
Société de production
Synopsis du film d'animation "Le Noël des Looney Tunes"
Le film est une parodie du conte de Charles Dickens, Un chant de Noël.
Critique du film d'animation "Le Noël des Looney Tunes"
Le canard boiteux de Noël
Le Noël des Looney Tunes est un vidéofilm mettant en scène les célèbres personnages issus des séries Looney Tunes et Merrie Melodies. Le moyen-métrage s’inscrit dans le genre film de Noël, en revisitant le conte Un Chant de Noël, de Charles Dickens.
Les points forts
Il est amusant de découvrir le célèbre conte de Charles Dickens à la sauce Looney Tunes. C’est toujours un plaisir de retrouver les personnages loufoques de la franchise.
Le fait qu’il s’agisse d’une aventure inédite, et non pas une compilation des anciens cartoons (comme ce fut souvent le cas dans les productions passées), et un aspect très appréciable de l'idée de base.
Les points faibles
Le scénario est un prétexte pour jouer des sketches redondants, que l’on a déjà trop vus pour être réellement apprécié. L’histoire abandonne toute la profondeur du conte initiale, en dépit d’une légère tentative moraliste en fin de film, pas franchement convaincante.
Inutile de parler d'action, d'intensité dramatique, et d'émotion, ces appréciation ne s’appliquent pas à cette production qui fait l'impasse sur ces aspects. L’humour, en revanche (qui est censé être le point fort du film) n’est tout simplement pas des plus efficaces.
L’animation est plutôt correcte, mais l’époque prétend à mieux. L’ambiance globale du film est élémentaire, et sans prétention. Le résultat est un peu trop ordinaire pour rester dans les mémoires.
En conclusion
Trés ordinaire, le film brille surtout par sa grande capacité de recyclage. Warner Bros. Animation nous prouve une fois de plus que les Looney Tunes sont tout juste bons à jouer la carte de la nostalgie. Le résultat ne surprend jamais. Pire encore, il revisite un conte déjà adapté un nombre incalculable de fois, sans même prendre la peine d’y ajouter de plus-value inédite. Dommage !
