Resident Evil: Damnation
Resident Evil: Damnation
Infos techniques du film d'animation "Resident Evil: Damnation"
Titre original
Durée
Date de sortie en France
Pays d'origine
Réalisation
Société de production
Synopsis du film d'animation "Resident Evil: Damnation"
En 2011, Leon S. Kennedy est envoyé par le gouvernement américain dans un ex-satellite de l'URSS, la République Slave de l'Est. Le pays est en proie à une guerre civile entre loyalistes et indépendantistes, dont l'enjeu est le contrôle du pays et de ses réserves pétrolières. Leon est envoyé pour y constater ou non la présence d'armes bio-organiques, afin de décider d'une possible intervention armée américano-russe. Mais il est finalement rappelé par son agent de liaison, Ingrid Hunningan.
Critique du film d'animation "Resident Evil: Damnation"
Resident Evil: Damnation est le deuxième film d’animation intégré à l'univers étendu de la célèbre franchise de jeux vidéo Resident Evil. Ce thriller d'horreur, combine habilement action et suspense pour plaire aux fans de la série.
Les points forts
L'animation du film est remarquablement fluide, avec des décors détaillés qui contribuent à créer une atmosphère lugubre, sombre et oppressante. Les scènes de combat sont dynamiques et bien chorégraphiées, captivant l'attention du public tout au long du film.
Les points faibles
L'intrigue peut être déroutante pour ceux qui ne sont pas familiers avec la série de jeux vidéo. Même pour les fans, les connexions entre les événements peuvent sembler floues, et certains personnages secondaires manquent de développement. Les dialogues sont parfois maladroits et stéréotypés.
Visuellement, bien que l'animation soit fluide, les visages des personnages et leurs expressions ne sont pas toujours convaincants, et les décors manquent parfois de diversité.
En conclusion
Resident Evil: Damnation plaira principalement aux fans de la série, qui apprécieront les références et l'atmosphère familière de l'univers. Cependant, pour les néophytes curieux, le film pourrait sembler moins accessible.