Nos voisins, les hommes
Nos voisins, les hommes
Infos techniques du film d'animation "Nos voisins, les hommes"
Titre original
Durée
Date de sortie en France
Pays d'origine
Réalisation
Société de production
Budget
Synopsis du film d'animation "Nos voisins, les hommes"
Le printemps est de retour ; la tortue Verne et ses amis sortent d'un long sommeil hivernal. Mais, entre-temps, une grande "chose" verte a poussé à l'orée du bois et envahi leur domaine. Surgit alors le raton laveur RJ, jamais à court de combines et d'explications. Il s'agit, leur dit-il, d'une HAIE, destinée à protéger le domaine enchanté du "Bien-être", habité par les Humains, ces créatures d'un genre particulier qui vivent pour manger, au lieu de manger pour vivre.
Critique du film d'animation "Nos voisins, les hommes"
Guerre de voisinage
Nos voisins, les hommes est un film américain produit par DreamWorks Animation. Un raton laveur s'attire les foudres d'une bande d'animaux de la forêt après avoir dérobé leurs provisions hivernales. Pour se racheter, il leur promet de leur trouver de la nourriture dans la banlieue voisine. Mais les animaux découvrent un monde bien différent de ce qu'ils imaginaient, rempli de dangers et de surprises.
Les points forts
La principale force du film réside dans son humour bien exécuté qui parvient à amuser et divertir le public.
Bien que n'atteignant pas les sommets des productions Disney-Pixar, l'animation de bonne facture nous propose une esthétique plaisante.
Les points faibles
Le film souffre d'un manque flagrant d'originalité, empruntant des idées déjà exploitées dans d'autres films d'animation de la même période. La trame narrative est dépourvue de surprises, avec une fin anticipée dès l'introduction. L'expérience ne laisse pas un souvenir impérissable.
En conclusion
Nos voisins, les hommes parvient à s'élever au-dessus de sa simplicité grâce à son humour entraînant, offrant un divertissement appréciable pour les enfants et les adultes. En dépit de sa facilité scénaristique, le film parvient à charmer son public, même si l'on ne peut s'empêcher de constater la tendance générale à la similitude parmi un grand nombre de films produits à la même époque.