Heavy Metal F.A.K.K. 2 : Le Film
Heavy Metal F.A.K.K. 2 : Le Film
Infos techniques du film d'animation "Heavy Metal F.A.K.K. 2 : Le Film"
Titre original
Durée
Date de sortie en France
Pays d'origine
Réalisation
Société de production
Budget
Synopsis du film d'animation "Heavy Metal F.A.K.K. 2 : Le Film"
Interdit aux moins de 12 ans
Au fond d'une mine, à la suite d'un mystérieux accident, Tyler est transformé en surhomme. Il se prend a rêver d'immortalité. Virtuellement invincible et poussé par sa folie meurtrière, il prend le commandement du vaisseau minier et lance sa bande de pirates à l'assaut de la planète Eden. Tyler décime toute la population. Julie, véritable machine de guerre, décide de venger son peuple et se lance à la poursuite du tyran, fermement décidée a l'empêcher d'ouvrir les portes de l'immortalité.
Critique du film d'animation "Heavy Metal F.A.K.K. 2 : Le Film"
Pénible
Heavy Metal F.A.K.K. 2, Le film se présente comme une sorte de suite de Métal hurlant, mais possède sa propre cohérence qui lui permet d’être regardé indépendamment. En dépit de ses aspects atypiques, il devient clair dès les premières notes que l'expérience sera tout sauf agréable.
Les points faibles
Les choix artistiques sont douteux, l’histoire grotesque est un fiasco. Malgré toute tentative d'investissement émotionnel, l'intrigue peine à susciter le moindre intérêt. L'ennui s'installe fermement, transformant chaque minute en un supplice interminable. Le film, dépourvu de substance, échoue à captiver son audience, laissant un vide narratif désolant.
Le doublage, élément crucial pour immerger le spectateur dans l'univers du film, se révèle être un désastre, contribuant à une expérience sonore désagréable. La musique, au lieu d'enrichir l'expérience, devient une source d'irritation.
La tentative d'innovation avec l'animation assistée par ordinateur se traduit par une incohérence visuelle qui perturbe plutôt qu'elle n'enchante.
En conclusion
La médiocrité omniprésente d’Heavy Metal F.A.K.K. 2 transcende même son statut de film référence, reléguant l'œuvre au rang des productions à oublier au plus vite. Une déception à tous égards.
